C'est vrai que j'avais toujours en mémoire celle de l'ami Mulatier, en couv' des Grandes Gueules, ou en Rabbi Jacob ... Celle-ci me fait plus penser à la période des "Branquignols" ... Et "Fous-le-camp" alors, pas croqué ?!...
Galien > C'est vrai que cette caricature est à peine exagérée, et pas seulement dans l'attitude. Cent fois sur le métier...
Odin le Tiche > Oui, il s'agit bien du Louis de Funès des années 50, à l'époque des Branquignols. L'allusion au film Ni vu... Ni connu... n'est venue qu'après coup, ce qui explique l'absence de son chien... et le costume qui n'est pas celui de Blaireau.
4 commentaires:
J'adore cette attitude si caractéristique, à peine exagérée...
C'est superbe, je suis soufflé !
C'est vrai que j'avais toujours en mémoire celle de l'ami Mulatier, en couv' des Grandes Gueules, ou en Rabbi Jacob ...
Celle-ci me fait plus penser à la période des "Branquignols" ...
Et "Fous-le-camp" alors, pas croqué ?!...
Magnifique ! Comme d’habitude.
Galien > C'est vrai que cette caricature est à peine exagérée, et pas seulement dans l'attitude. Cent fois sur le métier...
Odin le Tiche > Oui, il s'agit bien du Louis de Funès des années 50, à l'époque des Branquignols. L'allusion au film Ni vu... Ni connu... n'est venue qu'après coup, ce qui explique l'absence de son chien... et le costume qui n'est pas celui de Blaireau.
Bruno C. > Merci beaucoup.
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