vendredi 23 décembre 2016
Michèle Morgan
À la télévision, l'écran dément n'offre souvent que la quête des brunes fatales ou des blondes incendiaires. Elle était d'une blondeur froide et réservée avec des yeux si grands, les ogres-yeux dit-on, et une émotion touchante dans la voix. Il est dommage que cette voix soit si difficile à dessiner.
Michèle Morgan - Graphite sur papier et numérique
Michèle Morgan - Graphite on paper and digital
Catégories :
Caricatures,
Cinéma,
Croquis,
Graphite,
Gribouille,
La Symphonie pastorale,
Le Quai des Brumes,
Les Grandes Manœuvres,
Les Orgueilleux,
Michèle Morgan,
Télévision,
Têtes d'affiches,
Théâtre
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
3 commentaires:
Toi le pro des regards, tu ne pouvais qu'être attiré par ces yeux-la, non ? Encore plus abouti que ton précédent portrait - déjà sublime -de cette grande actrice...
Ah quel regard...
Tu as su lui rendre toute sa beauté, toi, tu sais...
Odin le Tiche > En effet, c'est un regard qui m'intéresse toujours autant que le visage qui le porte. La précédente version ne me convenait pas, car la ressemblance n'était pas au rendez-vous. Cette nouvelle exploration paraît plus pertinente. On sait depuis longtemps que, dans la caricature, entre le dessinateur et son modèle, s'instaure toujours un drôle de jeu du Chat et la Souris.
Galien > J'ai plutôt ressenti l'impression de la voler (en partie) que de la rendre, mais je comprends très bien ce que tu veux dire et t'en remercie.
Enregistrer un commentaire