mercredi 27 février 2019
Nastassja Kinski
Le point commun de ce dessin déjà ancien ─il date d'avril 2018─ avec celui de Bruno Ganz posté précédemment, est Wim Wenders. Pour une fois, le choix est équitable : un homme et une femme emblématiques de son cinéma. « C'est bien, ça. Même en caricature, il faut toujours un peu de parité, que ça s'voie ! »
Nastassja Kinski - Étude numérique
Nastassja Kinski - Digital study
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4 commentaires:
Et c'est fou le lien qu'il y a avec son père, avec un peu moins de folie, mais pas moins de personnalité. Très beau travail, msieur !
Galien > J'ignore si, dans la vie, Nastassja Kinski est une femme qui aime rire et s'amuser, mais c'est un fait qu'à l'écran son visage se prête volontiers à la mélancolie, voire une tristesse profonde. Je suis plus sensible à cela qu'aux variations sur la colère, la perversion ou la folie de son père. Merci beaucoup, Galien !
Tess forcément, mais j'ai toujours un coup de cœur (de Coppola) pour son rôle de la Féline, chez Schrader (et Bowie en bande-son !).
En tout cas, une bien belle moue sous un regard accrocheur !...
Odin le Tiche > Il se trouve, bizarrement, que je ne parvenais pas à la dessiner dans le rôle de Tess. Peut-être à cause du costume, et plus certainement à cause de son teint de porcelaine et de sa jeunesse à l'époque du film. Mais j'aurais pu essayer La Féline...
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