Il y aurait bien des choses à dire à son propos, à commencer par celles qu'il aurait encore à m'apprendre. C'est pourquoi je ne pousse pas trop vite Fred à se taire.
Hé, hé… J'avais senti ton jeu de mot avant de le lire, juste en voyant ce croquis. En me rappelant de ton aide ce vendredi, à la Lumière d'un lampadair, j'aurais tendance à te demander avec l'accent de tes origines familliales : "Ma, et se taire, est-ce oune soloucionné ?" En tout cas j'admire. Merci mon Ami
En ces temps de mariage royal, je ne suis gère surpris de l'hommage.
De tout bois faisant feu, ni fesse, ni torse, c'est le pape à longues jambes que tu sublimes ici et tout s'enchaîne... Ainsi, selon ce que le zigue fait, les deux fous lisent dans ses yeux que l'âme est là-haut, dis, de bonne heure.
Ce regard est troublant et il ne serait pas étonnant de découvrir que la jeunesse toujours intacte s'y meuve...
Superbe lumière et quel regard ! mais j'aime beaucoup la remise en question de la pommette à gauche (si je ne me trompe pas ? ) et toujours ce travail des zones claires dans le front qui me laisse admiratif.
Quelle classe, quelle noblesse dans ce regard ! On ne peut qu'y succomber, c'est sûr. Bravo et encore bravo pour votre technique si originale et maîtrisée, ce qui en ressort est toujours émouvant...
manque les pieds ! non, sans rire: tout est une fois de plus dans les yeux que vous avez su superbement saisir pour l'éternité. Au fait, saviez vous qu'il était chauve et qu'il portait une moumoute pour les films ?
Guillaume > Mes calembours, hélas, parviennent à peine au niveau des blagues Carambar... Ces quelques instants de causerie et de griffonnage passés sous la lumière d'un réverbère, avec toi et l'ami Charles, sont un très agréable souvenir.
David Gribouille > L'influence de Maëster est assumée et revendiquée pour ce qui concerne le dessin (on vient tous de quelque part). Mais il reste le meilleur de toute façon, y compris en matière de jeux de mots.
Bodard > Bien vu à propos d'Austerlitz (véritable patronyme de Fred Astaire), mais de là à me comparer avec Napoléon...
Maëster > Ton commentaire est un véritable feu d'artifice. J'en pétille encore. La leçon est belle ; tu restes le maître, c'est sûr, parce que grâce à toi tout s'enseigne.
FreZ > On chantera d'autant moins sous la pluie avec Fred Astaire que c'était surtout une spécialité de Gene Kelly, héhé !
Francky > Le regard de Fred Astaire avait quelque chose d'un peu mélancolique, ce qui est particulièrement visible sur les photos où il ne sourit presque pas. Peut-être que la forme de ses paupières aux extrémités légèrement tombantes accentue cette impression. Par ailleurs, en effet, les remises en cause sont fréquentes dans mes dessins en cours de réalisation, y compris sur les plus aboutis d'entre eux.
Galien > Astaire avait une élégance très inspirante.
Scala > Héhé !
Achdé > Pour l'éternité ? Bigre, n'exagérons pas. Maëster avait déjà superbement dessiné en pieds ( il y en a même cinq ) l'étoile qu'était cet Astaire au hit de sa forme ; j'ai pensé qu'une telle idée ne pouvait pas être surpassée. Par ailleurs, j'ai déjà entendu parler de cette histoire de perruque, mais sans me souvenir d'où je la tiens.
11 commentaires:
Hé, hé…
J'avais senti ton jeu de mot avant de le lire, juste en voyant ce croquis.
En me rappelant de ton aide ce vendredi, à la Lumière d'un lampadair, j'aurais tendance à te demander avec l'accent de tes origines familliales : "Ma, et se taire, est-ce oune soloucionné ?"
En tout cas j'admire.
Merci mon Ami
Oui justement, on sent l'influence d'un Maëster... dans le jeu de mot du moins ! Belle pièce, en tout cas.
Encore une victoire du Napoléon du stylo : c'est Austerlitz !
En ces temps de mariage royal, je ne suis gère surpris de l'hommage.
De tout bois faisant feu, ni fesse, ni torse, c'est le pape à longues jambes que tu sublimes ici et tout s'enchaîne... Ainsi, selon ce que le zigue fait, les deux fous lisent dans ses yeux que l'âme est là-haut, dis, de bonne heure.
Ce regard est troublant et il ne serait pas étonnant de découvrir que la jeunesse toujours intacte s'y meuve...
Sans d'être exubérant, il est cependant loin d'être un Fred austère...
(et je m'arrête là, car avec cette sècheresse, c'est pas demain qu'on chantera sous la pluie...)
Superbe lumière et quel regard ! mais j'aime beaucoup la remise en question de la pommette à gauche (si je ne me trompe pas ? ) et toujours ce travail des zones claires dans le front qui me laisse admiratif.
Quelle classe, quelle noblesse dans ce regard !
On ne peut qu'y succomber, c'est sûr. Bravo et encore bravo pour votre technique si originale et maîtrisée, ce qui en ressort est toujours émouvant...
Oh le Bô Fred à cet heure ! ;)
manque les pieds !
non, sans rire: tout est une fois de plus dans les yeux que vous avez su superbement saisir pour l'éternité. Au fait, saviez vous qu'il était chauve et qu'il portait une moumoute pour les films ?
Guillaume > Mes calembours, hélas, parviennent à peine au niveau des blagues Carambar...
Ces quelques instants de causerie et de griffonnage passés sous la lumière d'un réverbère, avec toi et l'ami Charles, sont un très agréable souvenir.
David Gribouille > L'influence de Maëster est assumée et revendiquée pour ce qui concerne le dessin (on vient tous de quelque part). Mais il reste le meilleur de toute façon, y compris en matière de jeux de mots.
Bodard > Bien vu à propos d'Austerlitz (véritable patronyme de Fred Astaire), mais de là à me comparer avec Napoléon...
Maëster > Ton commentaire est un véritable feu d'artifice. J'en pétille encore. La leçon est belle ; tu restes le maître, c'est sûr, parce que grâce à toi tout s'enseigne.
FreZ > On chantera d'autant moins sous la pluie avec Fred Astaire que c'était surtout une spécialité de Gene Kelly, héhé !
Francky > Le regard de Fred Astaire avait quelque chose d'un peu mélancolique, ce qui est particulièrement visible sur les photos où il ne sourit presque pas. Peut-être que la forme de ses paupières aux extrémités légèrement tombantes accentue cette impression.
Par ailleurs, en effet, les remises en cause sont fréquentes dans mes dessins en cours de réalisation, y compris sur les plus aboutis d'entre eux.
Galien > Astaire avait une élégance très inspirante.
Scala > Héhé !
Achdé > Pour l'éternité ? Bigre, n'exagérons pas. Maëster avait déjà superbement dessiné en pieds ( il y en a même cinq ) l'étoile qu'était cet Astaire au hit de sa forme ; j'ai pensé qu'une telle idée ne pouvait pas être surpassée.
Par ailleurs, j'ai déjà entendu parler de cette histoire de perruque, mais sans me souvenir d'où je la tiens.
Un Fred tout ce qu'il y a d'épatant !
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