jeudi 8 juillet 2010

Bram Stoker

Bram Stoker- Je vous assure qu'un peu d'ail ça aide la digestion, et empêche les vents pires. Ça ballonne pas", affirmait sa voisine, "... mais y faut que ça soye bien dosé".

Bram Stoker - Stylo bille sur papier

Bram Stoker - Ballpoint pen on paper

13 commentaires:

Francisco Martins a dit…

Super! your style is so amazing! congratulations on such great work :)

Greetings from Portugal

BOD a dit…

We learn from failure, not from success ! Cette phrase mise en exergue de son Dracula m'accompagne souvent dans les moments difficiles. Vive Bram Stocker ! Vive la caricature ! Merci Thierry !

Unknown a dit…

Loin d'avoir la dent dur, tu as une patte de velours. Une belle caricature qui se termine sans un croc.
Ta vision et ton rendu sont toujours un ravissement pour les yeux et sources d'émotions.
Bravo Thierry !

Francky a dit…

Ouch! en voilà une bien saignante, tout en finesse une fois de plus, je vois que tu ne travailles pas avec un pieu, mais comment fais-tu ? Si je t'ai mis une petite tapette, tu me crucifies avec cette caricature. Bravo !
Le col de chemise qui rebique, hihi, du grand art !!

Dame du phare a dit…

Moi ce sont les poils de la barbe qui rebiquent que j'aime. Il a d'autres choses qui rebiquent Bram ? Oups !

GRAND a dit…

A chacune de tes caricatures je chois et je mords la poussière (va falloir que je songe à foutre du lino)
Encore une talentueuse réussite sang pour sang Coquelet!

theb a dit…

Et bien en voila qu'il ne vaut mieux pas aller chatouiller de trop près... excellent mon cher Thierry !

FreZ a dit…

Contrairement au cerf, quand brame c't'auteur, ce ne sont pas les biches qui risquent d'être empalées... (rhô, c'est d'une finesse... :) )

Une des choses que j'apprécie dans ta série de têtes d'auteurs, c'est que j'apprends beaucoup - et en particulier quelle tête ils avaient. Parce qu'à part les pères Hugo et Baudelaire, on ne peut pas dire que j'avais leur trombine en tête avant de les voir apparaitre ici.

"peu d'ail ça [...] empêche les vents pires", c'est bien pour le jeu de mot, mais dans la vraie vie... :)

Quand même un mot sur le travail : impeccable, comme toujours.

Thierry COQUELET a dit…

Francisco Martins > Thank you Francisco. I'm very glad of your comment and your visit here.

Bodard > Tiens, cet exergue ne figure pas dans l'édition de poche de Dracula en ma possession. En tout cas, c'est une phrase extraite du chapitre X. Je suis de ton avis quant à l'intérêt de cette phrase, et il se peut qu'on soit nombreux à y trouver une salutaire matière à réflexion.

Guillaume > Ce dessin s'est terminé a peu près bien, mais il était, avant, pire.

Francky > Puisque tu trouves cette caricature saignante, alors je persiste et signe : elles valent au moins, tes recherches de Leonardo, dix carpaccios.

Larkéo > Étonnante barbe n'est-ce pas ? Je n'ai pourtant rien inventé : sur la photo dont je me suis servi, on dirait bien que Stoker s'est collé une motte de terre avec les racines sur le menton. Autre chose qui rebique ?... Peut-être le petit doigt de sa main qui tient la tasse de thé...

Grand > De la poussière, j'en mords, sûr, assez en découvrant tes travaux, cher Denis.

Theb > Sur aucune des photos de Stoker que j'ai trouvées on ne le voit sans cet air grave. Était-ce un joyeux drille qui cachait bien son jeu ? On dit que les bons comtes font les bons amis...

FreZ > Je parlais des vents pires, mais tu as raison : dans la vraie vie, l'ail rend surtout les pulls plus lourds car il charge la laine, dit-on. On notera d'ailleurs que, pour un pull, il faut un grand champ d'ail.

Damion009 a dit…

this is outstanding!!!!

Chantal a dit…

Il est vraiment très réussi,tu l'as bien croqué!!!!! ;-)

Lunaba a dit…

je ne connaissais pas et ton croquis m'a donné envie de partir à la découverte de ce personnage :)

Thierry COQUELET a dit…

Damion009 > Thanks a lot, dear Damion.

Chantal > Aurais-je la dent dure ?

Lunaba > Son monument qu'est Dracula, roman épistolaire dont on connaît sans doute mieux les multiples et parfois (souvent) fantaisistes adaptations cinématographiques, a beaucoup éclipsé ses autres œuvres littéraires.