lundi 29 novembre 2010

Leslie Nielsen

Leslie NielsenC'est une chance, parfois, d'avoir encore un Pilot sous la main car, malheureusement, il n'y en a plus dans l'avion.

Leslie Nielsen - Stylo bille sur papier
Leslie Nielsen - Ballpoint pen on paper

Voir aussi les versions de Maëster, Chris Wahl et Theb.

8 commentaires:

Maëster a dit…

We're all counting on you...

He is perfect, my friend.

BOD a dit…

C'est tout-à-fait le genre de croquis que j'admire pendant longtemps. Je scrute, j'observe, je déguste, je savoure. A propos, qu'y avait-il pour dîner ? Du poisson et de la viande, je crois. C'est vrai : j'ai pris des lasagnes.

Anonyme a dit…

bel hommage....

galien a dit…

Superbe ! Son air guilleret est parfaitement saisi !
Tout à fait admirable !

FreZ a dit…

La comparaison de deux caricatures me fascinera toujours. Celle de Maester et la tienne me semblent partir dans des directions différentes (certes, l'âge du bonhomme n'est pas le même dans les deux cas) et sont pourtant autant réussies, étant toutes deux autant lui.

Francky a dit…

Superbe ! Je sors de chez Maester et les deux versions sont aussi différentes qu'éblouissantes Bravo !
Je m'aperçois que je viens de faire la même ref chez Maester que Bodard dans son commentaire, étonnant.

Unknown a dit…

Merci !
Cet acteur canadien m'amusait beaucoup.
Tu as bien rendu sa folie douce.
Super croquis

Thierry COQUELET a dit…

Maëster > "One... two... three... four... five..."
C'est bon, c'est bon, tu peux arrêter de compter.
Plus le temps passe, et plus sa ressemblance s'efface à mes yeux. Il faudra que je me penche qur la question, car la ressemblance est tout de même ce qui compte.
"One... two... three... four... five..."

Bodard > Je vois que monsieur est un connaisseur.

Cali > Merci.

Galien, FreZ, Francky > C'est étrange, mais je le trouvais plus ressemblant au moment de le poster. À présent, je n'ai même plus l'impression de l'avoir dessiné tant il me paraît éloigné de son modèle.

Guillaume > Le décalage entre son apparence costume-cravate-brushing et l'humour nonsense auquel il se livrait fonctionnait à merveille.