samedi 31 octobre 2015

Julie Andrews

Julie Andrews

Le visage est intéressant à étudier et, assurément, il m'a donné envie de revenir un jour vers lui. En attendant, ce dessin, comme tous les autres, n'est qu'une piste. Pas de quoi grimper au rideau, mais peut-être assez pour le déchirer.

Julie Andrews - Graphite sur papier
Julie Andrews - Graphite on paper

9 commentaires:

FreZ a dit…

Vas-y, défriche, trace des pistes à la machette, elles nous servent d'autoroute à nous qui te suivons :)

Odin le Tiche a dit…

Ah ben oui, on est loin de Mary Poppins ou de la Mélodie du Bonheur !! Ce n'est qu'une piste, mais on sent bien le regard de la femme trahie par son Paulot de mari !... A quand la version Victor Victoria ?!...

Chantal a dit…

Toujours superbe,comme tout ton travail!!!

Thierry COQUELET a dit…

FreZ > C'est sympa de l'envisager ainsi. Cette caricature n'étant pas exactement ce que j'en attendais malgré ton propos sympathique, on ne peut pas dire que je la mêle aux dits du bonheur. Néanmoins je lui trouve quelques accroches intéressantes pour une prochaine version.

Thierry COQUELET a dit…

Odin le Tiche > Impossible, pour le moment, de savoir quel film inspirera la prochaine caricature de Julie Andrews. Au départ, il était prévu que ce soit Les Jeux de l'amour et de la guerre (Arthur Hiller, 1964) qui serve de référence... Le plus souvent, c'est une photo trouvée un peu par hasard qui suscite finalement l'envie de dessiner tel ou tel visage. Mary Poppins, La Mélodie du bonheur, Victor, Victoria, qui sait ?

Thierry COQUELET a dit…

Chantal > Merci pour ton soutien !

galien a dit…

Tout de même, il y a beaucoup d'élégance dans ce dessin, de douceur et de contraste. J'aime beaucoup.
Et quel regard !

Marion Combelas a dit…

Jean Giono parlait d' "amateurs d'âme" dans son roman "Un Roi sans divertissement." La formule vous sied à la perfection. Je dirais même que vous êtes un révélateur d'âme, tellement vos travaux sont lumineux.

Thierry COQUELET a dit…

Galien > J'espère avoir un jour le temps d'approfondir le sujet car ce regard, justement, mérite qu'on s'y attarde un peu plus.

Marion > La lumière n'est surement pas qu'un effet de surface pour mettre en valeur des volumes ou des textures : il faut la chercher à l'intérieur, sous la peau. Merci, chère Marion, de me laisser croire que je suis sur la bonne voie.